14.12.09

café froid et pain rassis.

Il y en a qui se croient terriblement cools en froissant des tickets de métro parisien quand il sont dans une ville de province. HAHAHA, je ris de les voir si cons en ce miroir, dirait la grosse (ou la fleur, ça dépend de votre niveau d'éducation). Il ne manque alors que les fourrures de castor du Canada synthétiquement répliqués sur le col de leurs doudounes pour que la troupe soit au complet, que les rideaux ne retombent jamais et que les coquelicots fleurissent en mai. Les fils de putes aussi fleurissent en Allemagne, et le port de Hambourg sera toujours moins bien que celui d'Amsterdam, aux quais rongés par les larmes au mascara de ces vocalises qui dessaoulent sous un ciel déprimé. HAHAHA, l'image du ciel qui revient, c'est Simba qui voit son papa dans les étoiles, sans savoir que pumba est dealer de champignons hallucinogènes, et la savane finit par devenir un jardin d'éden où les bananes roses sont épluchées en permanence par une armée hilarante d'hommes-tapir, petits, tout petits, sous-alimentés et sous-aimés. On n'y peut rien, ils sont petits, et encore heureux que mon lobe temporal ne perçoive plus les couleurs comme tous mes congénères, parce qu'être roux, ça ne pardonne pas. Non, même si on a d'excellentes initiatives, et qu'on fait rougir de bonheur Adam Smith par la rapidité de nos employés à éplucher des noix de coco. On n'épile pas les noix de coco ?

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